Слайд 1Les unités de la langue et les niveaux d’équivalence
Слайд 2D’après Komissarov, une traduction est équivalente lorsque les deux textes
(l’original et la traduction) possèdent des niveaux de contenu analogues,
le terme « contenu » signifiant ici tout ce qu’un texte contient : fonctions sémantiques, stylistiques, etc.
Si les divers niveaux d’équivalence semblent innombrables, Komissarov en dégage cinq de première importance, à savoir les niveaux
niveau du but de la communication
niveau de la description d’une situation
niveau de la communication,
niveau de l’expression,
niveau des signes linguistiques
Слайд 3Tandis que les aspects occasionnels ne reflètent pas toute l’information
importante, le contenu du message peut être différent même si
l’on décrit lq même situation à l’aide des mêmes mots.
Pour assurer l’équivalence totale il faut que les unités léxicales soient aussi équivalentes. Les unités lexicales ajoutent la nouvelle information, le sens complémentaire. Les unités lexicales peuvent changer le sens de tout le message c’est pourquoi son choix joue un très grand rôle.
Слайд 4C’est au 4ème et au 5ème niveaux de la traduction
selon Komissarov il est nécessaire de ne pas seulement garder
le but de la communication et la transmission du sens mais aussi de trouver les équivalents des unités de la langue, lexicales et sémantiques
Слайд 54ème niveau de l’équivalence
Au 4ème niveau de l’équivalence on conserve
pas seulement les components du sens, mais aussi les structures
syntaxiques du texte original.
La structure syntaxique fait employer les mots du type concret dans un ordre concret en faisant des connexions aussi concrêtes.
Ainsi la conservation la plus possible de l’organisation syntaxique aide à reproduire le contenu le plus plein du texte original.
En utilisant les structures syntaxiques identiques on assure l’invariabilité des sens syntaxiques de l’original et de la traduction.
Слайд 6Le plus important est d’assurer ce parallèlisme pendant la traduction
des textes d’Etat et des documents internationaux, où la traduction
obtient le statut officiel comme celui du texte original.
Слайд 7Donc, les relations entre les reductions du 4ème type d’équivalence
ont ses particularités :
Un haute niveau du parallèlisme lexical – pour
la plupart des mots on peut trouver la traduction très correspondante
L’emploi des structures syntaxiques dans la traductioin qui sont analogiques dans le texte original, ce qui assure le transmission maximale de la signification des structures syntaxiques originales.
La conservation des 3 parties du contenu du texte : du but de la communication, la marque de la situation et le moyen de sa description.
Слайд 8S’il est impossible de conserver la parallèlisme syntaxique, on emploi
des structures qui ont subi les modulations syntaxiques
Il existe dans
ce niveau 3 types des modulations syntaxiques
L’emploi des strustures synonymiques
L’emploi des structures analogiques avec le changement de l’ordre des mots
L’emploi des structures analogiques avec le changement du type du liaison entre elles.
Слайд 9Mais à cause des modulations le texte peut perdre ou
acquérir quelque information qui peut être importante pour le contenu
du message, surtout quand cette information porte une marque stylistique. (p.ex. Modes, temps etc)
Les modulations syntaxiques peuvent porter un caractère global quand on change les structures syntaxiques, et l’ordre des mots et le type de l’entier syntaxique.
Слайд 105ème niveau de l’équivalence
Au 5ème niveau de l’éqivalence on obtient
le degré maximal de l’analogie entre le texte d’original et
la traduction.
Les particularités de ce niveau d’équivalence :
Le haut niveau du parallèlisme dans l’organisation structurale du texte
Les moyens lexicaux sont analogiques ; dans la traduction on peut traduire chaque unité du texte original
Le plus important c’est la semantique des mots
Слайд 11Si en traduisant on perd de certaines parties de la
sémantique des mots, on reproduit des éléments qui sont les
plus importants dans cette situation communicative. C’est ainsi qu’un obtient la traduction équivalente.
Il est important de ne pas perdre le sens connotatif, autrement dit emotionnel et stylistique.
S’il est impossible de traduire le mot stylistiquelent marqué, on peut élargir cette caractéristique pour tout le message ; ainsi cet élément émotionnel peut être reproduit dans un autre mot.
Слайд 12De plus il ne faut pas oublier que les étrangers
ont une autre vision et conception du monde, il faut
transmettre corréctement le sens des messages portant un sens spécifique.
SI dans la langue d’original un mot porte un sens stylistique et évoque une image quelquonque dans l’esprit de l’étranger mais il perd ce sens dans la traduction, le traducteur refuse ce mot
Слайд 13P.ex.
Engl. Cat – une vieille femme méchante et nerveuse –
En russe ice sens n’existe pas
- брюзга.
engl.Sweetheart = sweetmeats -
bien aimé=un bonbon
exemple:
By-and-by, he said: "No sweethearts I believe?" "Sweetmeats did you say, Mr. Barkis?“
- А нет ли у нее дружочка? - Пирожочка, мистер Баркис?
Слайд 14Au 5ème niveau de l’équivalence on a pour but de
conserver la caractéristique stylistique de l’original. Le traducteur doit transmettre
le style parlé, littéraire ou poètique.
SI le lexique est neutre cela aussi est une marque stylistique à l’aide de laquelle on considère les mots convenables ou pas convenables dans la situation donnée.
On voit la plus haute équivalence en traduisant des termes ou des notions scientifiques, techniques etc.
Слайд 15Les jeux de mots ne sont pas souvent traduisibles c’est
pourquoi le traducteur ne les traduit pas, ou change la
structure, ou ajoute le sens stylistique dans des autres éléments.
Exemple:
Il m’a dit qu’il était un page – Mais non, tu n’es qu’un paragraphe
Он сказал, что он глава пажей. - Ка-кая ты глава, ты одна строчка!